L’Alurad s’associe à la journée nationale du don d’organe et de réflexion à la greffe et encourage les professionnels de santé à porter un ruban vert . Des stands d’information ont été mis en place sur tous les sites afin que les patients et leurs proches puissent obtenir toutes les informations souhaitées. Des partages d’expériences sont également organisés entre des personnes ayant bénéficié d’un greffe rénale et les patients dialysées.

La journée nationale du don d’organe est de la réflexion à la greffe est le moment idéal pour parler à ses proches de son choix concernant le don d’organe.

En France, chacun de nous est présumé donneur d’organes et de tissus. C’est ce que l’on appelle le consentement présumé. Cependant, le prélèvement des organes et tissus ne peut pas se faire sur une personne qui s’y était opposée de son vivant.
Ainsi, si une personne est opposée à un tel prélèvement, elle peut exprimer ce refus de son vivant, à titre principal, en s’inscrivant sur le registre national des refus. Elle peut aussi en informer ses proches par écrit ou par oral. Le moment venu, l’équipe médicale échangera avec ses proches.

Nous sommes tous présumés donneurs, mais la loi impose aux équipes médicales de consulter les proches pour recueillir une éventuelle opposition du défunt. En parler de son vivant, c’est les soulager lors de cet entretien. Avec le don d’organes, un mot suffit pour sauver des vies.

Si vous souhaitez plus de renseignements, rendez-vous sur le site du don d’organes.